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A.M.F.N. | ![]() |
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A gauche, les ingrédients
de base des sapins: poils de balai-brosse en coco, et fil de fer fin, plastifié,
vert, de 8/10èmes de mm de diamètre.
Le balai-brosse (à droite) ne coûte que quelques francs en grande surface, et peut fournir plusieurs dizaines de sapins. Le fil de fer peut s'acheter en rouleau dans les quincailleries, mais nous avons utilisé ici du fil de fleuriste de récupération. |
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Les poils sont prélevés
sur le balai au moyen d'un cutter.
En N, les poils peuvent être coupés en deux, dans le sens de la longueur (bien sûr!), si le balai a des poils assez longs (choisir un balai approprié). En HO, on les garde tels quels. |
On commence par couper un
morceau de fil de fer de 20 cm de long,
on le plie en deux par le milieu, et on le fixe dans un étau. Puis les poils de balai sont insérés et coincés entre les deux brins du fil. |
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Les deux extrémités
libres du fil de fer sont saisies dans le mandrin d'une chignole à
main.
Seule phase de l'opération qui nécessite un peu d'attention: il faut répartir régulièrement les poils le long du fil de fer, comme on le voit sur la photo ci-contre (essayer de faire mieux, tout de même!). |
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Le fil de fer est alors
torsadé jusqu'à ce que les poils de balai se répartissent
régulièrement tout autour, comme ci-contre.
Cesser de torsader dès que l'on ne perçoit plus la structure "en hélice" du futur arbre. |
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Vers le haut de l'arbre (à gauche), couper au ras des dernières branches. Vers le bas (à droite),
laisser un tronc de quelques centimètres qui permettra de saisir
commodément et de planter l'arbre.
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Puis les poils sont taillés en
forme de cône, aux ciseaux, pour reproduire la silhouette des vrais
sapins (à gauche).
A droite, quelques échantillons
du résultat.
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Ensuite, le sapin est saisi par le tronc,
avec une pince de chirurgien, et trempé dans un mélange de
peinture acrylique verte et de colle blanche diluée. Le mélange
a, à peu près, la consistance du lait.
La teinte est à déterminer par l'observation. |
Et l'on passe immédiatement
au flocage.
La poudre utilisée ici est de la
sciure de bois,
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Sans attendre que ça
sèche, tapoter l'arbre (ou la pince qui le tient) afin de faire
tomber l'excédent de flocage.
Sans cela, notre sapin prendrait un aspect empâté. |
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L'arbre est maintenant terminé: on le plante sur un bout de polystyrène expansé pour sécher, avec ses congénères, avant de l'installer dans le décor. | ![]() |
La confection des sapins
est une tâche simple, qui peut être confiée aux débutants
et même aux visiteurs occasionnels.
Ne nécessitant pas une grande concentration, elle peut être pratiquée en groupe, en discutant de choses et d'autres, ce qui en fait une activité très conviviale pour les clubs... |
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... et c'est ainsi que nous avons pu produire plus de 3500 arbres en moins de trois mois. Ceux-ci s'apprêtent à rejoindre leurs congénères sur le réseau. |
Voilà le résultat: une forêt
de sapins à flanc de montagne.
Ces sapins ont ici des tailles différentes, variant du simple au double, mais sont dans l'ensemble plus petits que leur taille réelle à l'échelle, pour donner une impression d'éloignement et agrandir le décor. Notez que cette seule photo contient une soixantaine de sapins. Visitez les pages montrant notre réseau N. |
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